l'arbre qui cachait la forêt
sophie sénécaut
samedi 16 novembre
Ces dernières années, Sophie Senecaut a entamé un travail, de fond, celui d’une progressive translation. En dehors des assignations de la scène et dans des lieux autrement propices à l’expression d’une parole singulière. Elle nous rejoins cette saison, à trois reprises, pour habiter l’espace de la Balsamine en mode saxifrage et nous inviter à des ouvertures publics pensées comme des « moments temps libre » dont le détail sera communiqué en amont de chaque rencontre.
rire (pour en finir avec soi-même)
sara selma dolorès
du 21 au 30 novembre à 20h
en coprésentation avec le théâtre varia
Sara Selma Dolorès (créature bien connue de la nuit bruxelloise), accompagnée sur scène de Baxter (wikipédiste fatrasique), de Lazarus (cock-porn girl) et de deux performeur·euses, vous invite à une soirée cabaret (ça veut dire qu’il y aura des plumes, des paillettes, des numéros de chant, d’effeuillage, de pole dance et de drag queen) où il s’agira avant tout : de rire !
portraits d'artistes
Nous avons confié à Mélanie Peduzzi le soin de réaliser les portraits des artistes de cette saison.
Mélanie Peduzzi est une artiste belge née en 1989, formée à la Cambre en photographie et dont la pratique se situe entre arts plastiques, écriture et performance.
Sa pratique est essentiellement nourrie d’événements autobiographiques qu’elle aime injecter dans des démarches collectives. Avec les médiums artistiques, elle transforme des vécus pour les rendre plus digestes pour elle, et pour en montrer une vision engagée au public. Plus largement sa démarche artistique vise à questionner nos représentations pour lutter contre les rapports de pouvoir présents dans la société.
Parallèlement à ses activités artistiques, Mélanie Peduzzi a co-créé avec Adèle Jacot, les Habitant·es des images, structure qui agit entre art-social-politique. Elle est également membre de Xeno-, collectif de lutte intersectionnelle composé essentiellement de femmes racisées et queer, et y développe des projets autour de l’exposition.
autoportrait de Mélanie Peduzzi